Libre d’être qui je suis. Libre d’avoir le corps que j’ai et qu’il soit accepté par la société et mes proches. Libre de pouvoir manger sans être épié.e et regardé.e par la bien pensance. Libre du tyran qui parle dans ma tête. Libre de mes biais de formatage sociétal (“Pression sociale”). Libre d’allier plaisir et conscience alimentaire. Libre de mes mouvements. Libre d’être reconnu.e à ma juste valeur (celle que je choisis, celle pour laquelle je me bats au quotidien, celle que je connais et reconnais de moi). Libre de choisir les mots et étiquettes pour me définir. Libre des “devoirs” inhérents au système du foyer dans les règles pré-construites par la société liées à mon genre (la femme au ménage et aux fourneaux = Old style patriarchy)…