Libre d’être qui je suis. Libre d’avoir le corps que j’ai et qu’il soit accepté par la société et mes proches. Libre de pouvoir manger sans être épié.e et regardé.e par la bien pensance. Libre du tyran qui parle dans ma tête. Libre de mes biais de formatage sociétal (“Pression sociale”). Libre d’allier plaisir et conscience alimentaire. Libre de mes mouvements. Libre d’être reconnu.e à ma juste valeur (celle que je choisis, celle pour laquelle je me bats au quotidien, celle que je connais et reconnais de moi). Libre de choisir les mots et étiquettes pour me définir. Libre des “devoirs” inhérents au système du foyer dans les règles pré-construites par la société liées à mon genre (la femme au ménage et aux fourneaux = Old style patriarchy)…
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Mais de quoi nous nourrissons-nous au juste ?
Si à un niveau très terre-à-terre, nous sommes tou.tes d’accord pour dire que nous nous nourrissons d’aliments et qu’à un niveau biologique, nous nous nourrissons de macronutriments (lipides, glucides, protéines = sources énergétiques nécessaires) et de micronutriments (vitamines et minéraux = sources d’équilibre biochimique interne), pour le reste c’est là que tout devient souvent un peu plus compliqué.
Le petit manifeste du Kombucha
Je suis une « capitaliste », d’après mon diplôme très pompeux qui m’a permis d’aller là où on consomme les ressources à un niveau environnemental et humain tous les jours. Comment en sommes-nous arrivés là et comment…
L’alimentation comme une métaphore ?
Le 9 mars 2016, je vous racontais que j’avais utilisé “le papier toilette” en guise de métaphore pour décrire la place que j’avais l’impression d’occuper dans la société. Le 19 août 2019, je vous avouais à demi mot que “j’en suis à l’étape où je me sens enfin comme une plante moi aussi… une plante à bulbe qui est encore enfermée dans la terre et qui attend son moment pour doucement commencer à faire pousser ses premières tiges”.